Une opérette, ça ne me plait pas.
Une opérette allemande, ça me déplait.
J’espère que le fusil chante bien.
Quelle idée de se mettre une balayette sur la tête quand on est si bien coiffée.
Le teuton ne devrait pas sourire.
Il est clair que la guerre a laissé des traces dans l’esprit du Dr Vinylo. Ces notes laconiques trahissent une grosse colère.
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Quel beau nom pour un groupe ! Quel hommage pour nos grands hommes ! Quel honneur pour la France ! Je suis sûr qu’à l’écoute les gens se rendront compte que ces jeunes filles enthousiastes sont aveugles. Ça doit s’entendre. Féliciter le producteur.
Je n’ajoute rien. Le Dr Vinylo me paraît mûr pour la camisole.
Passons aux choses sérieuses.
Tout d’abord comme promis voici le Downtown de Mrs Miller.
Extrait : [audio:http://www.qobuz.com/son/classica/divers/Downtown.mp3]
J’ai découvert une malle que le Dr Vinylo avait dissimulée dans le placard où il rangeait sa garde-robe. Ce que j’y ai découvert confime mon pressentiment. Deux obsessions l’habitaient visiblement : les coiffures et les poitrines opulentes.
Jugez pour les coiffures.
Quant aux poitrines, je ne présente que ce que la décence me permet. Il y a plus net. D’autres vinyles qu’il avait ainsi mis de côté sont plus révélateurs. Mais pour le moment cet exemple suffit à nous édifier.
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