Parvenir à chanter presque comme un être humain, c’est déjà fort. Mais pour une marionnette, être consciente de l’existence de Dieu, c’est très fort. Offrir le disque à Pépette et Zouzou pour le jour de l’Ascension.
Le Dr Vinylo n’a pas très bien saisi les rapports artistiques réciproques et existentiels qui ont présidé à la création de cette œuvre.
[audio:http://www.qobuz.com/son/classica/divers/Tatayet-Kitching.mp3]Profitons de l’occasion pour présenter Pépette et Zouzou, les petites-filles du bon docteur, qui les adorait mais se trompait souvent sur ce qui pouvait les amuser ou même seulement les intéresser. Elles étaient compréhensives.
La semaine prochaine nous découvrirons Madame Vinylo et d’autres documents provenant de la malle secrète du Docteur relatifs à ses obsessions.
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Je me suis fait traduire le titre : Musique pour faire souffrir. Je m’en doutais un peu : pourquoi montrer ainsi un disque brisé ? C’est une honte !
En réalité la vraie souffrance réside dans l’écoute. Madame Leona Anderson, l’interprète, mentionnée très discrètement sur la pochette, était la sœur de « Bronco Billy » Anderson, né Max Aronson, cow-boy vedette en 1903 du premier western, The Great Train Robbery, où il interprète trois rôles à lui seul. Madame Anderson est davantage présente au verso :
Le label de cet album est Unique Records. On espère qu’il a tenu sa promesse. De son côté, le titre du disque tient la sienne. Très exactement. Et dès le premier titre : I Love Paris.
[audio:http://www.qobuz.com/son/classica/divers/Leona Anderson – Music To Suffer By – 01.mp3]
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