Les charts Qobuz du lundi 2 juin 2014

Les charts Qobuz
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Ecrit par Julien Boudry

TÉLÉCHARGEMENTS

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1 –  Ghost Stories (Coldplay)

Les fans de la première heure se frottent les mains tant ce sixième album de Coldplay fleure bon les débuts épurés et quasi-minimalistes de la bande de Chris Martin. Tout au long de ces Ghost Stories, on sent les Britanniques en quête de simplicité et surtout d’éloignement de la grandiloquence des derniers opus en date.

2 –  Little Secret (Nikki Yanofsky)

Avec Little Secret, la jeune femme qui avait débarqué sur la scène du festival de Montréal, en 2006, telle une bombe du haut de ses douze ans, interprétant les chansons d’Ella Fitzgerald, s’émancipe en proposant un album au croisement du jazz originel, de la soul sixties et d’une certaine pop, gorgée de soleil californien.

3 – Chaleur humaine (Christine and the Queens)

Après trois EP prometteurs, Héloïse Letissier – Christine And The Queens à la scène – publie enfin son premier album, beau condensé de toutes ses singularités ; de ses obsessions également. Femme-orchestre entrelaçant textures sonores new wave et nappes electro, pop et chanson, mots français et verbes anglais, la jeune Nantaise semble fascinée par les excentriques comme Klaus Nomi, Bowie, Björk, PJ Harvey, Nick Cave, Christophe et surtout Michael Jackson.

ÉCOUTES

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1 –  If You Wait (London Grammar)

Le choc London Grammar ! Ce jeune trio londonien né il y a deux ans vaut avant tout pour la voix envoûtante de sa chanteuse Hannah Reid qui n’est pas sans rappeler celle de Romy Madley Croft de The XX, mais aussi de Florence & The Machine voire, chez les plus anciens, de Tracey Thorn d’Everything But The Girl. Un chant sensuel et en apesanteur au service d’une pop résolument atmosphérique qui a ensorcelé Qobuz au point d’en faire un disque Qobuzissime.

2 –  Little Secret (Nikki Yanofsky)

Avec Little Secret, la jeune femme qui avait débarqué sur la scène du festival de Montréal, en 2006, telle une bombe du haut de ses douze ans, interprétant les chansons d’Ella Fitzgerald, s’émancipe en proposant un album au croisement du jazz originel, de la soul sixties et d’une certaine pop, gorgée de soleil californien.

3-  Rameau : Les Indes Galantes (Hugo Reyne)

On ne peut pas dire que l’année Rameau (250 ans de sa mort en 2014) ait encouragé de nouvelles publications, sans parler de certaines versions devenues introuvables. La surprise est donc de taille, car il faudra désormais compter avec le nouvel enregistrement que Hugo Reyne consacre aux Indes Galantes, dans leur version de 1736.